Qui sommes-nous ?
Parce qu’il est important de distinguer la personne derrière les chiffres, je vous souhaite la bienvenue sur cette page.
Je suis Tony Bassi, gérant-fondateur de Boecklin Patrimoine.
Depuis toujours, je suis poussé par ce passionnant métier relationnel, que je vois comme une véritable opportunité d’engagement envers la réussite d’autrui.
La gestion de patrimoine : une évidence depuis l’enfance
Comme toutes les bonnes histoires, celle de Boecklin Patrimoine trouve ses racines au cœur de mes jeunes années. Le décor ? La belle Strasbourg. Autant vous dire que je ne crains plus d’employer le mot « vocation » !
Le caractère d’un petit gestionnaire
Petit, je suis déjà très consciencieux. Alors que d’autres s’amusent avec leurs jouets en toute insouciance, je repère chaque défaut concernant ces derniers. Mon plaisir se trouve dans le sens du détail : la moindre erreur de peinture, de couleur ou d’assemblage me fascine.
J’ai aussi un certain sens de la rigueur : très tôt, je suis passionné par le parallélisme. D’aucuns pourraient dire que je n’ai jamais cessé de poursuivre le dessein des lignes droites depuis ce jour : aller droit au but, et sans détours.
Rien d’étonnant, donc, à ce que je suive la voie financière dès que cela me fut possible, au détour d’une analyse de mes petits soldats.
Un goût pour la relation-client
Parce que je suis déjà à l’aise avec les chiffres et que j’aime les choses carrées au-delà de mes belles droites parallèles, je choisis de faire un baccalauréat en Comptabilité et Finance d’entreprise que je valide en 2010.
Pendant que je suis sur les bancs du lycée, je vois croître une motivation de plus en plus précise : me tourner vers la finance du particulier, au-delà de la finance d’entreprise. En effet, je développe déjà l’envie de faire un métier proche des gens et de leur quotidien.
Je repère un BTS Professions Immobilières à Colmar, motivé par la dimension relationnelle et commerciale de ce secteur d’activité.
Je découvre un environnement fascinant qui m’apprend le sens de l’expertise stratégique. Pour trouver mes premiers stages en entreprise, je décide de me lancer…à l’ancienne ! Je démarche donc les agences immobilières en faisant du porte à porte et ça paye : mes missions s’enchaînent. Du démarchage de prospects trouvés aléatoirement dans l’annuaire téléphonique jusqu’à la vente d’un premier appartement : je réalise mon véritable baptême du feu commercial !
J’obtiens le diplôme en 2012. Cela me plaît, mais pas au point de changer de cap pour jouer à Stéphane Plaza. Ce que je veux offrir aux clients, c’est avant tout mon esprit analytique chevronné. Serait-il possible de “vendre de la finance” ?
Il ne me reste plus qu’à trouver le bon métier.
La poussée d’une rencontre décisive
Je parle de mes interrogations à mon père qui décide de me faire rencontrer des acteurs de la finance parmi ses connaissances. Un jour, j’en rencontre un qui me parle de son métier. Il est gestionnaire de patrimoine.
À l’instar du médecin qui soigne ses patients, il diagnostique, pronostique et prescrit des solutions à ses clients pour préserver leur santé financière. Je sors de notre entretien le cœur léger car la réalisation est immédiate : j’ai la certitude que cette fonction correspond à mon tempérament de petit enquêteur spécialisé en défauts sur jouets.
Il ne me reste plus qu’à faire correspondre mes études universitaires à ce nouvel objectif. Je repère rapidement les meilleures institutions pour me donner tous les moyens de parvenir à mon but : être moi aussi, un jour, un « docteur » du capital d’autrui.
L’alignement du parcours scolaire
Fort d’une curiosité insatiable, je quitte donc Strasbourg pour voler de mes propres ailes, loin du nid familial et de mes croquis de droites parallèles. Je ne le sais pas encore, mais je reviendrai seulement 10 ans plus tard dans ma région natale.
Cette prochaine étape m’emmène d’abord à l’Université de Bordeaux pour une licence professionnelle en Gestion de patrimoine.
Je vois mes études prendre l’allure de mon futur métier. Mes résultats grimpent en flèche et consolident mon choix : je suis au bon endroit.
Pour les besoins du diplôme, je réalise mon premier stage en gestion de patrimoine durant cette période…c’est ma première consécration dans ce secteur !
Dans mon rapport, je réaffirme ma vocation et j’effleure déjà l’idée d’être un jour un conseiller indépendant. Mon tuteur de stage agit en véritable mentor et se montre de bon conseil : il insiste sur la nécessité de poursuivre jusqu’au Bac+5. Je valide ainsi ma licence en 2013, les yeux déjà tournés vers la suite.
Ce Bac+3 en poche, je découvre les obstacles d’un parcours atypique loin des standards de la faculté. Mes diplômes ne convainquent pas les universités classiques, et de nombreuses portes se ferment. Persévérant, je traverse à nouveau l’hexagone pour atterrir cette fois-ci dans la belle ville de Lyon. Je rentre dans une école de commerce pour un Master 1 en finance, étape indispensable avant de pouvoir poursuivre ma spécialisation en Master 2.
Je dois réaliser un second stage. Ne reculant devant rien et surtout pas devant les pages jaunes, je prends possession du précieux annuaire et j’envoie une lettre de motivation et un CV à tous les cabinets indépendants de Lyon. L’un d’eux, installé depuis 10 ans, apprécie mon audace et me charge d’une mission : réorienter le cabinet vers la clientèle de chefs d’entreprise.
C’est à ce moment-là que l’idée de créer un jour ma propre société germe dans mon esprit. Quand je ne révise pas pour les examens, je prends plaisir à me documenter sur mon univers professionnel.
L’année suivante, je réussis à défendre mon parcours professionnel face à un jury universitaire, et j’atteins enfin l’objectif que je m’étais fixé : je peux m’asseoir sur les bancs de l’Université Jean Moulin Lyon 3 pour un Master 2 en Gestion de patrimoine. Je sors de la faculté major de promotion en 2015 avec le précieux sésame que j’étais venu chercher en poche : la Compétence Juridique Appropriée (ou CJA). Cette certification, prérequis indispensable à mon sens, m’autorise désormais à dispenser des consultations juridiques ou à rédiger des actes sous seing privé à titre accessoire.
Au bout de mes études, après 5 ans loin de ma ville natale, la vie active s’offre à moi.
Les débuts d’un gestionnaire : plongée dans l’univers des grands comptes
Je n’en démords pas : je souhaite accéder à un poste de spécialiste à la sortie de mes études.
Je postule pour un CDD de 4 mois en remplacement d’une personne en congé maternité à Tours. Je ne connais rien ni personne là-bas…mais c’est le moyen pour moi de me donner cette chance. À l’entretien, je défends mes connaissances et mon savoir-faire malgré mon jeune âge, avec la conviction de celui qui en a déjà bavé pour en arriver là. Et ça marche ! Je décroche un emploi qui demandait 5 ans d’expérience dans un poste similaire alors que je n’ai que mes stages derrière moi.
Un état d’esprit de mercenaire
Mes missions ? Dynamiser un groupe d’agences parfois perdues très loin des métropoles. Afin de capitaliser sur cette véritable opportunité, je m’investis à fond et mes résultats sont excellents. Mon manager de l’époque loue mon efficacité, mes compétences et mon excellence relationnelle, autant avec mes collègues qu’avec la clientèle. J’en suis encore fier aujourd’hui.
La Banque Tarneaud me propose de poursuivre l’expérience avec un CDD supplémentaire de 6 mois…et je refuse. On me propose alors le graal : le CDI. Cette fois-ci je signe et je deviens donc à 23 ans le plus jeune gestionnaire de patrimoine du groupe Crédit du Nord. Mes jouets sont loin et mon rêve se concrétise enfin.
Je conçois les stratégies d’organisation du patrimoine privé/professionnel et d’investissement des plus importants clients et gère l’animation commerciale concernant l’offre de gestion financière d’un groupe de 6 agences bancaires. En 2016, mon manager me propose de me rattacher à 2 agences bancaires supplémentaires à Angers (49). Je vois cette opportunité comme un nouveau défi et j’accepte. Réparti sur 4 départements, je gère à présent le plus grand territoire de toute la banque, et sûrement un des plus grands en France.
Je parcours parfois des endroits reculés pour faire mon métier avec un état d’esprit de mercenaire. Et j’adore ça ! Les retours du management sont unanimes : mes résultats commerciaux indiscutables s’accompagnent de félicitations quant à ma ténacité professionnelle, mon état d’esprit général et mon approche pédagogique. Le baromètre mesurant le taux de satisfaction de nos clients grimpe d’une note de 75 points à mon arrivée à une note 87 points sur 100.
Les bénéfices d’une expertise pointue…
Je me découvre des facilités à communiquer, à échanger des idées et à transmettre des informations.
Je perfectionne quotidiennement ma pratique tout en disposant de moyens techniques et humains importants. Je me retrouve même dans les ficelles de l’organisation d’événements d’affaires de grande ampleur. Par exemple, je supervise une conférence avec un public de plus de 100 personnes.
Mes efforts sont récompensés puisque je décroche même une promotion : je deviens ainsi le référent du site historique de Nantes et des agences du littoral à Vannes et Lorient. Néanmoins, l’arrivée sur ce nouveau périmètre se teint d’une sensation familière de recommencement…et l’envie d’explorer de nouveaux horizons s’empare de moi.
En 2018, je rejoins le groupe AXA à Nantes pour gérer leur portefeuille régional de clients Gestion Privée. J’accompagne désormais des cadres supérieurs, des familles et des chefs d’entreprise dont les avoirs confiés sont supérieurs à 500 000 €. Moi qui, petit, rêvait d’accéder à des postes à responsabilité, je suis maintenant gestionnaire de fortune et gère un total de 350 millions d’euros d’actifs selon la conjoncture économique et les perspectives des marchés financiers.
En parallèle (vous pensiez que j’avais laissé tomber mes droites ?), j’accompagne la réalisation des projets de ma clientèle en élaborant des solutions assurantielles, bancaires et immobilières sur-mesure.
Je prends plaisir à puiser dans mes connaissances pour accompagner mes interlocuteurs tout en facilitant l’expression de leurs besoins. La solution à chaque problème ne me semble jamais loin et à chaque fois que je la trouve, j’ai une pensée pour l’approche médicale du métier.
Naviguant entre les règles de confidentialité, j’observe parfois les hauts et les bas des collaborations humaines, ainsi que les jeux d’influence propres à ce secteur. Je traverse également quelques déceptions amicales dans ma sphère personnelle qui forgent d’autant plus ma volonté de me concentrer sur des relations « gagnantes-gagnantes ».
L’idée de monter ma société de gestion de patrimoine revient me titiller.
Au bout de 7 ans de vie professionnelle, je suis de plus en plus stimulé par l’envie de connaître mes clients, et non pas seulement leur portefeuille. Je me heurte cependant à une barrière que je n’avais pas anticipée.
…à la rigidité contraignante
La tristement célèbre pandémie COVID-19 vient alors mettre son grain de sel dans mes rouages. Cette période de confinement me fait prendre conscience de mon éloignement familial. Ma conjointe et moi réfléchissons alors à nos aspirations profondes et nous nous décidons à revenir nous installer durablement en Alsace. Je demande alors ma mutation interne chez AXA Strasbourg. Après avoir déménagé plus de 10 fois en 30 ans d’existence, je suis de retour chez moi. Parce que le Destin est un sacré joueur, il s’avère que je prends la place du gestionnaire de patrimoine ami de mon père rencontré des années plus tôt. Des années plus tard, je suis assis sur la chaise de celui qui a éclairé mon chemin professionnel de sa lanterne.
Enfin ancré professionnellement dans mon Alsace natale, mon envie de tisser des liens avec cette nouvelle clientèle locale est à son apogée. Cependant, je me rends compte que je suis dans une grosse machine bien huilée. Les grandes entreprises pour lesquelles je travaille ont leurs procédures, leurs codes, parfois au détriment des relations humaines.
En effet, mon accompagnement est « intermédié » : les clients dont j’ai la charge conservent leur interlocuteur généraliste d’assurance situé à leur point de vente d’origine. Cette relation tripartite me laisse sur ma faim… bien loin de mon idéal de conseil patrimonial sur mesure.
Je mets enfin des mots sur la situation : je ne suis pas le décisionnaire, je suis l’exécutant.
Parce qu’il est hors de question que je reste passif dans cette situation, je me décide à rencontrer de nouveaux employeurs potentiels pour me donner une nouvelle chance. Ces derniers me proposent de gérer des portefeuilles de clients toujours plus fortunés. Néanmoins, je retrouve la même structure implacable.
La leçon est claire : je réalise que les emplois proposés par les grands groupes du secteur ne me permettent pas de répondre suffisamment efficacement aux besoins et attentes des clients.
De ce fait, je démissionne pour prendre une des décisions les plus importantes de ma vie.
Le cabinet Boecklin Patrimoine : mon équilibre entre l’expertise et la pédagogie
En janvier 2023, je crée ma propre société de gestion de patrimoine : Boecklin Patrimoine.
Un indépendant aux racines de l’histoire
Au début de cette page, je vous parlais de racines. Les miennes sont à Strasbourg et plongent dans son histoire.
Un jour, j’acquiers un appartement au 36 rue Boecklin. Voulant à l’origine le louer, j’y fais quelques travaux et la magie opère : je tombe amoureux des lieux. J’ai en effet le coup de cœur pour y vivre moi-même et je projette mon activité professionnelle en ces lieux. Hormis sa concentration en professions libérales, le quartier est celui où travaillent tous les employés du Conseil de l’Europe. Je ne pourrais pas rêver meilleurs voisins ! En cherchant un nom pour mon cabinet, il était naturel pour moi de faire référence à cette rue et à ce quartier qui respire le patrimoine. Je bénéficie aussi de la notoriété de l’endroit : tout Strasbourgeois est déjà passé au moins une fois dans l’immense rue Boecklin.
Cerise sur le gâteau, je suis aussi attiré par le vécu de la noble famille Boecklin, une des plus anciennes de la région. Je me reconnais dans leurs valeurs et décide d’en faire le mot d’ordre dans mon quotidien professionnel.
Leur emblème achève de me convaincre : j’emprunte au bouc de l’écusson son caractère fonceur et je leur rends hommage en nommant ma société Boecklin Patrimoine.
L’importance de comprendre pour accompagner
Être un gestionnaire de patrimoine avec ma propre société indépendante coche toutes les cases de mes ambitions. Je suis en mesure de sélectionner librement mes partenaires et je prends enfin le temps de bâtir des relations de confiance durables avec mes clients.
De par mon parcours et mon amour pour la vulgarisation, je n’hésite pas à revenir à l’image d’un raisonnement médical pour mon métier.
Comme je le décris ici, je traite chacun de mes dossiers avec la même méthode en trois étapes :
- Une phase d’écoute (le « diagnostic ») ;
- Une phase d’analyse (le « pronostic ») ;
- Une phase d’accompagnement (la « prescription »).
Pour moi, la gestion de patrimoine doit s’accompagner d’une certaine pédagogie. J’accorde une importance toute particulière à l’écoute du client et je prends plaisir à détailler mes connaissances lorsque j’estime que c’est nécessaire. Ma philosophie du conseil est d’expliquer consciencieusement mon approche et ses avantages tout en m’assurant d’avoir compris les objectifs personnels de mon interlocuteur.
Je crois fermement qu’une réponse existe à chaque problématique juridique ou financière.
L’exemple parfait d’une telle transparence réside dans les bénéfices du dialogue. Pour reprendre Caroline TAYMANS dans L’inestimable patrimoine immatériel :
« J’ai une mauvaise nouvelle pour vous : je n’ai pas de solution toute faite. J’ai aussi une bonne nouvelle : je vais vous aider à trouver la solution vous-même. »
Je serai toujours en quête d’une façon d’exercer mon métier qui m’offrira la sensation d’aider autrui. Je n’aurai de cesse d’employer mes talents et mon énergie à fournir un service vraiment important à ma clientèle, parfait équilibre entre leurs enjeux financiers et l’apport de ma personnalité pour faire la différence.
Chaque individu est unique, et comprendre l’histoire de chacune et chacun me permettra de pérenniser leur réussite.
C’est un peu comme si je vous apprenais à tracer une belle droite, ou à distinguer une petite éraflure sur une figurine en bois…
Trouvons ensemble la réponse à vos objectifs.
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